6 séances de 3 heures, de 13h30 à 16h30, en alternance des mercredis et des vendredis :
me 9/10/24, ve 22/11/24, me 18/12/24
ve 14/02/25, me 12/03/25, ve 18/04/25
.
Où ? Le lieu de la première séance sera communiqué aux inscrits (en région liégeoise).
Attention, le nombre de places est limité.
me 9/10/24, ve 22/11/24, me 18/12/24
ve 14/02/25, me 12/03/25, ve 18/04/25
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Où ? Le lieu de la première séance sera communiqué aux inscrits (en région liégeoise).
Attention, le nombre de places est limité.
Objectifs des intervisions
La fonction de direction d’école est exigeante, indépendamment des niveaux d’enseignement et des réseaux d’appartenance. Elle appelle à travailler en équipe, à affronter des problématiques complexes et à prendre des décisions impactantes. Bien qu’en constante collaboration, la directrice/le directeur est régulièrement confronté à elle.lui-même, sans avoir de réelles occasions de disposer de moments réflexifs collectifs.
Une possibilité pour construire une prise de distance repose sur le dispositif de l’intervision, visant à échanger entre pair·e·s vivant des réalités semblables. Les individus réunis au départ d’expériences de vie (professionnelle) communes ont là l’occasion de déposer et de recueillir le regard des autres participant·e·s sur le vécu partagé.
L’objectif est d’élaborer un espace de respiration et de réflexion, invitant chaque participant·e à déposer, au fur et à mesure des séances, des situations critiques, délicates, compliquées, sur lesquelles les collègues directrices et directeurs peuvent apporter leur lecture. Accompagné par un intervenant extérieur, chaque moment est agencé de manière à amener chaque participant·e à prendre distance par rapport au quotidien professionnel en profitant de l’expérience de ses pair·e·s. En outre, ces intervisions s’inscrivent précisément dans une logique collective afin de sortir de la résonance individuelle et de donner un écho partagé aux expériences de chacun·e.
La fonction de direction d’école est exigeante, indépendamment des niveaux d’enseignement et des réseaux d’appartenance. Elle appelle à travailler en équipe, à affronter des problématiques complexes et à prendre des décisions impactantes. Bien qu’en constante collaboration, la directrice/le directeur est régulièrement confronté à elle.lui-même, sans avoir de réelles occasions de disposer de moments réflexifs collectifs.
Une possibilité pour construire une prise de distance repose sur le dispositif de l’intervision, visant à échanger entre pair·e·s vivant des réalités semblables. Les individus réunis au départ d’expériences de vie (professionnelle) communes ont là l’occasion de déposer et de recueillir le regard des autres participant·e·s sur le vécu partagé.
L’objectif est d’élaborer un espace de respiration et de réflexion, invitant chaque participant·e à déposer, au fur et à mesure des séances, des situations critiques, délicates, compliquées, sur lesquelles les collègues directrices et directeurs peuvent apporter leur lecture. Accompagné par un intervenant extérieur, chaque moment est agencé de manière à amener chaque participant·e à prendre distance par rapport au quotidien professionnel en profitant de l’expérience de ses pair·e·s. En outre, ces intervisions s’inscrivent précisément dans une logique collective afin de sortir de la résonance individuelle et de donner un écho partagé aux expériences de chacun·e.
Salim MEGHERBI est sociologue de formation, enseignant, il est porteur d'une expertise au niveau de l'analyse des organisations, pratiquée dans divers contextes durant dix années en tant que chercheur à la Faculté des Sciences Sociales de l'Université de Liège. Il est aujourd'hui collaborateur scientifique du Centre de Recherche et d'Interventions Sociologiques, laboratoire de recherche notamment dédié aux questions organisationnelles.
En tant que responsable d'équipe, il s'intéresse à la mouvance de la gouvernance participative et partagée, interrogeant les possibilités de mise en place dans un contexte d'enseignement supérieur.
A titre personnel, il est membre du comité de gestion d'une école fondamentale libre de la région liégeoise et administrateur d’un pouvoir organisateur d’écoles fondamentales libres de la région liégeoise.
En tant que responsable d'équipe, il s'intéresse à la mouvance de la gouvernance participative et partagée, interrogeant les possibilités de mise en place dans un contexte d'enseignement supérieur.
A titre personnel, il est membre du comité de gestion d'une école fondamentale libre de la région liégeoise et administrateur d’un pouvoir organisateur d’écoles fondamentales libres de la région liégeoise.